La gestion de l’anxiété repose sur une approche holistique qui combine des éléments clés tels que le sommeil, l’alimentation, l'activité physique, les interactions sociales et des techniques thérapeutiques. Chaque stratégie abordée dans cet article s’appuie sur des études scientifiques pour offrir des solutions durables et accessibles.
Vous sentez-vous souvent obligé d’aider les autres, même lorsque cela vous coûte du temps, de l’énergie ou du bien-être ? Cette tendance, qui peut sembler altruiste à première vue, cache parfois un phénomène plus profond : le syndrome du sauveur.
Longtemps réduite à des capacités mesurées par des tests de quotient intellectuel (QI), l’intelligence a été perçue comme une forme unique et hiérarchisée, privilégiant les aptitudes logico-mathématiques et verbales au détriment d’autres compétences. Cette vision étroite a façonné nos systèmes éducatifs et professionnels, mais elle montre aujourd’hui ses limites.
Pourquoi est-il si difficile d’admettre une erreur ou d’accepter un point de vue différent ? C’est ici qu’intervient un concept que j’ai nommé le « biais d’égo ».
Le terme « dépendance affective » peut vous sembler fort et ne pas refléter la dynamique de vos relations. Si vous vous considérez comme une personne indépendante, libre et intelligente, vous pouvez vous pensez au-dessus de ce genre de relations toxiques et dysfonctionnelles. Pourtant, la dépendance affective peut se décliner de multiples façons dans une relation.
La manière dont nous nous attachons aux autres suit-elle des règles ? Pourquoi avons-nous tendance à tomber sur les mêmes types de partenaires amoureux, les mêmes problématiques ? Ce sont des questions auxquelles tente de répondre la théorie de l’attachement. En quoi consiste-t-elle et peut-elle nous éclairer sur nos fonctionnements ?
L’attirance romantique reste un grand mystère pour beaucoup d’entre nous. Si la sagesse populaire abonde sur ce qui est attirant ou non, les faits eux sont bien plus flous. Certaines études se sont cependant penchées sur le sujet, pour déterminer s’il existe des règles communes. Que disent-elles alors et que peut-on en conclure sur les traits de caractère les plus attirants ?
En France, entre 5 et 10% des élèves seraient victimes de harcèlement pendant leur scolarité. Si les conséquences à court terme peuvent être graves et multiples, elles peuvent aussi être présentes à long terme et se prolonger à l’âge adulte.
En France, on estime qu’une personne sur quatre souffrira de dépression à un moment de sa vie. Pourtant, ce trouble est encore mal identifié et mal connu. Les personnes qui en souffrent se sentent en effet souvent isolées, peu comprises. Mais surtout, elles ont besoin d’un accompagnement adapté. Comment alors repérer la dépression, la traiter, et parvenir à sortir de ce mal-être profond qui touche tant de personnes neuroatypiques ?
Si vos pensées vous encombrent et que vous n’arrivez pas à faire cesser le petit moulin qui tourne dans votre cerveau, vous êtes peut-être sujet à l’overthinking. D’autant plus que les personnes neuroatypiques y sont particulièrement prédisposées. Alors qu’est-ce que cela veut dire et comment faire pour vivre un peu plus en paix avec ses pensées ?
Est-on forcément traumatisé en étant neuroatypique ? Peut-on souffrir de stress post-traumatique sans le savoir ? Autant de questions qui arrivent sur le devant de la scène, alors que le lien entre le trauma et les profils neurodivergents se précise. Dans cet article, nous allons définir le traumatisme et ses manifestations parfois discrètes. Puis nous tenterons de démêler ce qui relève du trauma et de la neuroatypie, avant de proposer quelques pistes de thérapie.
Le manque de confiance en soi est une demande régulière de consultation chez les psychologues. Certaines personnes ont grandi avec un entourage leur permettant de reconnaître leurs nombreuses qualités et compétences en soutenant et en accompagnant leurs forces. Malheureusement, ce n’est pas toujours le cas et l’expérience vécue ou ressentie conduit à une faible estime de soi...
Suis-je accro ? Il est courant de s’être posé la question pour des comportements variés, des plus bénins au plus néfastes. Comment alors déterminer ce qui relève de l’addiction ou de la simple habitude ? Sommes-nous plus sujets à devenir addict lorsque nous sommes neuroatypiques ? Voici comment repérer si l’on est concerné, et les pistes pour s’en sortir.
Des études mettent en évidence que nos ressentis et nos pensées sont impactés par des distorsions perceptuelles, des biais cognitifs, des erreurs de jugement qui peuvent nous induire en erreur. Alors, pouvons-nous réellement nous fier à nous-mêmes ?
L’empathie est un symbole de la capacité de l’être humain à être bienveillant. Lorsque nous sommes en empathie, nous percevons les émotions des autres, et nous pouvons nous y adapter… Parfois trop ? On se penche sur le sujet dans cet article, afin de savoir si l’on peut parfois être « trop » empathique, et si les personnes neuroatypiques ont une empathie qui s’exprime différemment.
La comparaison sociale, ce phénomène si influent qui nous amène à focaliser une grande partie de notre attention sur l’Autre dans le but de quantifier notre valeur.
L’héritage de Freud peut être résumé en un seul mot : l’inconscient. Pilier fondateur des théories psychanalytiques, il sous-tend des approches et traitements variés. Mais elles sont désormais remises en cause à l’internationale, bien que très courantes en France. On se penche sur la théorie de l’inconscient, et comment ces courants peuvent influencer la prise en charge des personnes neuroatypiques.
« Lui, il est passif-agressif ». Qui n’a pas entendu cette phrase au moins une fois ? Le terme est cependant assez vague, et utilisé de manière libérale pour parler de comportements problématiques. On se penche sur les origines de ce mot, et sur la manière de faire face à de l’agressivité « passive ».
Naît-on ou devient-on intelligent ? C’est une question complexe, qui n’a pas encore de réponse consensuelle. On voit souvent des publications ou méthodes nous promettant d’entraîner notre intelligence, afin de l’augmenter. Mais est-ce réaliste ? On aborde ce sujet complexe, pour savoir s’il est réellement possible d’améliorer ses performances.
Les hommes comme les femmes subissent souvent la pression des rôles genrés, particulièrement persistants dans nos sociétés. Pour les hommes, on parle parfois de masculinité toxique, qui engendrerait des comportements dangereux à la fois pour leurs proches et eux-mêmes. On décrypte ce terme et l’on essaie de déterminer quels seraient les critères d’une masculinité bienveillante dans cet article.
Les relations homme/femme ont fait l’objet de nombreux livres, qui se proposent d’expliquer les dynamiques en jeu entre les deux genres. Les hommes et les femmes sont-ils fondamentalement différents ? Existe-t-il des différences au niveau neurologique ? On explore ce vaste sujet dans cet article.
Vous êtes plutôt cerveau gauche, ou cerveau droit ? La réponse à cette question est « aucun des deux ». Le mythe des hémisphères séparés, et des caractères qui seraient déterminés par ceux-ci, a la vie dure. On revient sur la réalité neurologique derrière cette idée reçue, et la manière dont fonctionnent les deux moitiés de notre cerceau.
Quoi de plus agaçant que quelqu’un qui affirme avec une confiance absolue des idées fausses sur un domaine où l’on est expert ? Si cela vous arrive, vous avez sûrement affaire à l’ultracrépidarianisme, la tendance que nous avons tous à parler de ce qu’on ne connaît pas. Pourquoi l’être humain tend-il à surestimer ses compétences et pourquoi sommes-nous tous un peu concernés ?
Le terme « intelligence artificielle » (IA) génère son lot de fantasmes. Quels sont ses usages réels, et pourquoi dit-on parfois que l’IA peut remplacer les humains ? Voici une introduction à ce vaste sujet.